Les deux et trois-roues

Les gants

Main gauche et main droite, conducteur et passager, belle et mauvaise saison…

En situation de chute ou d’accident, les mains (tout comme les pieds) sont mises en grand danger car, dans un geste réflexe, elles sont au premier plan pour amortir le choc et peuvent donc subir l'abrasion du bitume pendant toute la durée de la glissade.

Le beau temps n’empêche pas les coupures, les contusions et les brûlures par abrasion en cas d’accident. La conduite d’un deux-roues motorisé sans gants est donc à proscrire, quelles que soient les saisons et la météo.

Les blessures causées par l'absence du port des gants peuvent engendrer, même à faible vitesse, des conséquences irréparables et aussi des handicaps permanents (amputations, paralysies, etc.).

Indépendamment des questions de sécurité en cas de choc, les gants permettent aussi de protéger du froid ou de l’humidité : condition indispensable pour des mains toutes vouées à leur travail de conduite et de freinage !

Quelques conseils

  • Les gants sont un accessoire très personnel : à essayer avant l’achat, en anticipant une paire pour l’été et une autre pour la mauvaise saison.
  • Préférez la valeur de sécurité à celle de l’esthétique ! Optez pour des gants en cuir renforcés aux articulations et à la paume et pourvus d’une patte de serrage permettant leur parfait maintien en cas de glissade.
  • En cas de deuxième passager, ayez la même exigence.

 

Source : www.securite-routiere.gouv.fr

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